« Puisque les herbes guérissent nos peurs, nos anxiétés, nos soucis, nos fautes et nos manquements, c’est là qu’il faut chercher et la maladie, quelle qu’elle soit, nous quittera. »
Docteur Edward Bach, « La guérison par les fleurs », Editions Le Courrier du Livre, 2017
C’est dans la géométrie parfaite de la « Dame d’onze heures » (STAR OF BETHLEHEM), petite fleur blanche qui déploie tout son panache dans nos jardins sous le soleil de midi que le Docteur Bach a révélé le plein potentiel de cette fleur qui nous guide sur le chemin du réconfort et de l’équilibre.
Le drame ou la tragédie, qu’ils soient avérés dans la matière ou créés par notre mental, jalonnent, à un moment ou un autre, la vie de chacun d’entre nous. Que ce soit notre incapacité à accepter l’inacceptable au travers de la perte d’un être cher suite à un décès ou une séparation, ou notre difficulté à dépasser la douleur ressentie à l’annonce d’une mauvaise nouvelle, ce sentiment d’être inconsolable a pour effet de nous figer et de nous rendre stupéfait face à l’adversité.
Aussi, à ceux qui refusent toute consolation et refusent même l’idée de passer à autre chose, STAR OF BETHLEHEM (Ornithogalum umbellatum) est la fleur de choix pour leur rappeler la résilience et la force intérieure qui les habitent. En nous accompagnant sur le chemin de l’acceptation de la perte et du vide par une prise de recul nécessaire pour vivre chaque moment, aussi difficile soit-il, avec confiance et sérénité et annihiler l’effet de choc, l’ornithogale s’inscrit comme le « consolateur de l’Âme ».
Même Léonard de Vinci dans son œuvre de 1506 semble avoir « extrait la qualité d’âme » de cette fleur en mettant en avant la complexité et la perfection de ses pétales sous la forme d’un tourbillon, qui nous invite à un voyage introspectif à la recherche de cet élan d’énergie vitale.
NB: toutes les prestations du centre ne substitue pas aux conseils d’un professionnel de la santé